Une ribambelle d’étudiant(e)s bodybuildés ou siliconées servent de quatre-heures à de voraces piranhas préhistoriques. Alexandre Aja, le Frenchy exilé à Hollywood, revisite le classique de Joe Dante pour en tirer une farce gore et jouissive.
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“Piranha 3D” d’Alexandre Aja Dimension Films/The Weinstein Company
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Publié le 08 octobre 2011 à 00h00
Mis à jour le 21 octobre 2024 à 17h40
Vous n’aimez pas le poisson ? Qu’importe, lui vous aime. Cinéphiles gentils, passez votre chemin, va y avoir du sang (humain) et du sashimi ! Pas besoin, malgré son titre, de chausser vos lunettes épaisses et qui font mal, ce film a été tourné directement sans relief avant d’être converti en 3D.
Les piranhas, vous connaissez depuis la cour d’école – c’est ce petit poisson mythique, objectivement très laid, avec des dents aiguës, carnassier et d’« une extrême voracité » (on cite Le Petit Robert). Dans Piranha 3D, cette voracité est décuplée par leur âge préhistorique. Car c’est à la suite d’une secousse sismique provoquant une faille sous-marine dans un lac que ces
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