Dans les bas-fonds de Los Angeles, des scientifiques affrontent des forces maléfiques qui ambitionnent de semer tristesse et désolation sur la Terre. Un film extrêmement habile, qui éclipsa tous ses concurrents au Festival d’Avoriaz 1988.
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Jameson Parker, dans « Le Prince des ténèbres », de John Carpenter, 1987. Alive Films - Universal
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Publié le 09 août 2022 à 16h20
Mis à jour le 18 octobre 2024 à 16h37
Dans une église abandonnée de Los Angeles, un prêtre découvre un récipient contenant une gelée verdâtre. Les (vieux) grimoires et les (jeunes) savants sont formels : le diable a envoyé sur Terre son fils pour que son propre règne arrive…
La recette a souvent été testée et approuvée par John Carpenter (avec Assaut et Fog, notamment) : dans un lieu clos, le Bien et le Mal se chamaillent. Le Mal est costaud, imaginatif et protéiforme. Le Bien tombe dans tous les pièges. Qui va l’emporter ?
Bien sûr, on se contrefiche de l’intrigue, qui pique à L’Exorciste et aux classiques de Terence Fisher : ce sont les effets, le rythme et la composition de l’image qui intéressent Carpenter. Avec son
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