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Publié le 01 février 2022 à 15h00
Mis à jour le 01 février 2022 à 16h00
Le deuxième film de Francesco Rosi est étrangement hétérogène. Le destin d’une bande d’escrocs italiens, opérant dans une Allemagne encore en reconstruction, annonce le cinéma social du maestro. Mais la présence détonnante d’une star comique, Alberto Sordi, change la donne. En quelques gags — comment vendre coûte que coûte du tissu à une veuve éplorée —, le grand Alberto dévie le néoréalisme finissant vers un burlesque inattendu.
Vient ensuite, moins convaincante, l’histoire d’amour entre Renato Salvatori et la belle Belinda Lee, cœur pur contre cynisme revendiqué, avec sous-texte moraliste un peu appuyé. Le meilleur du film est ailleurs. D’abord dans les scènes de bande, presque scorsesiennes
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