Inspiré d’une série d’articles du “Saturday Evening Post” sur le gangstérisme et la corruption politique, ce film noir est, avant tout, une réflexion sur l’étroitesse de la ligne qui sépare flics et truands. Glenn Ford, en flic incorruptible cédant à ses impulsions vindicatives, est parfait.
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Publié le 11 novembre 2020 à 06h00
Mis à jour le 19 mars 2024 à 12h40
Dave Bannion est heureux en famille, bon père, bon mari et bon flic. Chargé d’enquêter sur le suicide de son supérieur, il se heurte au mensonge, aux intimidations. Quand son épouse est assassinée, il décide de faire justice lui-même. Il va être aidé par Debby, une femme qui fricote avec le chef de la pègre locale.
Règlement de comptes est un modèle de film noir. L’histoire, traitée avec une rigueur qui confine à l’épure, se tient dans les limites d’une anecdote policière : pas de grand discours, des faits ! La brutalité de ces faits est montrée d’une manière dépouillée et cinglante : corruption, meurtres, violence sadique sont l’ordinaire de cet univers où le bonheur innocent
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