James Ivory est le cinéaste qui n’a jamais été aussi bon que quand il a filmé des intrigues plus empesées qu’un col de chemise victorien.
S’abonner pour voir la note

Anthony Hopkins et Emma Thompson dans « Retour à Howard Ends », de James Ivory. © Merchant-Ivory
Réservé aux abonnés
Publié le 10 mai 2023 à 01h17
Mis à jour le 17 mai 2023 à 17h45
Au début du siècle dernier, Margaret et Helen, deux sœurs d’origine anglo-allemande, très émancipées pour l’époque, font la connaissance des Wilcox, une famille de grands bourgeois arrogants, crispés sur les traditions et les privilèges. Après une brève idylle avec l’un des fils Wilcox, Helen rompt, humiliée. Quelque temps plus tard, sa sœur aînée, Margaret, épouse Henry Wilcox, qui vient de perdre sa femme…
Howards End est la troisième adaptation du romancier britannique E.M. Forster par l’Américain James Ivory. Les deux hommes sont fascinés par le choc de deux cultures, le rapprochement de gens que tout oppose. Il s’agit, ici, d’un heurt entre deux classes, deux sexes, deux philosophies.
aux abonnés
sans engagement, résiliable à tout moment
L’avis des abonnés
Retrouver toutes vos avis dans notes et critiques
Veuillez réessayer dans quelques instants
Les commentaires sont soumis à des règles de modération. Lire notre charte
Vous avez déjà contribué. Retrouvez vos critiques dans la rubrique mes notes et critiques
Voir mes notes et critiques