Négligée par son amant, Marie s'embarque dans toutes sortes d'aventures sexuelles. L’audace de Catherine Breillat séduit ou ennuie.
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Caroline Trousselard. Flach Film
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Publié le 17 avril 1999 à 00h00
Mis à jour le 18 mars 2025 à 18h40
POUR
La romance, nous dit le dictionnaire, est au XVIIIe siècle « une pièce poétique simple, assez populaire, sur un sujet sentimental et attendrissant ». A la toute fin du XXe siècle, Catherine Breillat renouvelle le genre de manière radicale : le « sujet sentimental et attendrissant », c'est le sexe féminin. Non pas envisagé sous un angle abstrait, générique, mais au contraire de la façon la plus prosaïque qui soit : le sexe, le trou, le con, un sujet à part entière, vivant, exigeant. Traité avec tendresse, humour et considération. Mais sans détour.Evidemment, un tel sujet, ça dérange. Et ça révèle beaucoup de choses sur beaucoup de monde : sur celle, cinéaste tout
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