Il faut revoir ce chef-d'œuvre de Howard Hawks, où éclatent son humanisme et son sens du rythme.
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Publié le 23 janvier 2016 à 00h00
Mis à jour le 14 octobre 2024 à 18h16
Lorsqu'il imaginait, dans Un conte de Noël (2008), les rapports électriques entre Catherine Deneuve, mère mal-aimante, et Mathieu Amalric, fils mal-aimé, Arnaud Desplechin ne cessait de visionner Seuls les anges ont des ailes, de Howard Hawks (1939), « ce film génial dont les héros - les aviateurs d'une minable compagnie cernés par la mort - n'avaient pas le temps de prendre des gants ». Leur incroyable cynisme le fascinait. « Un seul exemple : deux types sont en train de draguer Jean Arthur et commandent trois steaks à la cantine. L'un d'eux est brusquement appelé en mission et son avion s'écrase. Cary Grant arrive pour annoncer cette triste nouvelle. Puis, il s'assoit tranquillement
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