Dans un monde où règne la politique de l’enfant unique, des septuplées se cachent. Une caricature de dystopie où le vertige schizophrène promis tombe, hélas, à plat.
S’abonner pour voir la note

Réservé aux abonnés
Publié le 12 septembre 2017 à 06h00
Mis à jour le 23 janvier 2023 à 14h57
En 2073, sur une Terre surpeuplée, la politique de l’enfant unique a été instaurée. Pour survivre, des septuplées (Noomi Rapace, fois sept) appliquent un stratagème élaboré par leur grand-père (Willem Dafoe, trois ou quatre flash-back et puis s’en va). Elles vivent retranchées dans leur appartement, sortent chacune un jour par semaine et prétendent, à l’extérieur, être une seule et même personne.
Le film promet un vertige schizophrène, comme dans la scène inaugurale de repas réunissant les sept. Hélas, le Norvégien Tommy Wirkola, visiblement absorbé par les défis techniques liés au tournage, néglige totalement la caractérisation des héroïnes. Les sept personnalités se réduisent
aux abonnés
sans engagement
Offre exclusive : 0,99€/mois pendant 6 mois
L’avis des abonnés
Retrouver toutes vos avis dans notes et critiques
Veuillez réessayer dans quelques instants
Les commentaires sont soumis à des règles de modération. Lire notre charte
Vous avez déjà contribué. Retrouvez vos critiques dans la rubrique mes notes et critiques
Voir mes notes et critiques