En investissant un couvent, la tonitruante Whoopi Goldberg nous faisait craindre le pire. Le scénario se révèle sympa, avec un ton de comédie bon enfant.
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Publié le 05 décembre 1992 à 00h00
Mis à jour le 06 mars 2025 à 12h02
Il y a Whoopi. Whoopi Goldberg, géniale dans Jumpin' Jack Flash, et qui rendait supportables les scènes de Ghost. Whoopi, émouvante dans La Couleur pourpre de Spielberg et inquiétante dans The Player d'Altman. Dans Sister Act, il y a Whoopi, mais il n'y a qu'elle. Visiblement, Emile Ardolino, le réalisateur, s'est contenté, en guise de mise en scène, de crier de temps à autre « Moteur, coupez ». Mais tout le monde s'en fiche puisqu'on vient pour Whoopi, qui joue une chanteuse dépassée, obligée de se réfugier dans un couvent pour échapper à son amant-gangster (Harvey Keitel, très drôle, lui aussi).
Entre deux péripéties un peu molles, elle entraîne les bonnes soeurs à swinguer leurs prières,
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Voir mes notes et critiquesTrès Bien
La scène de la chanson est mythique !
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Hélas
Pas mal et toile à matelas ?
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Très Bien
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