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Avec Sara Forestier dans Suzanne de Katell Quillévéré en 2013. © ProdDB
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Publié le 20 février 2019 à 06h00
Mis à jour le 07 avril 2025 à 12h28
Suzanne, comme le standard de Leonard Cohen. Et comme le titre longtemps envisagé par Pialat pour À nos amours. Entre le lyrisme de la chanson et le naturel du film, Suzanne devient le récit fulgurant d’une jeunesse sur le fil. Enceinte à 17 ans, l’héroïne garde l’enfant. Amoureuse d’un délinquant à 20, elle laisse son fils derrière elle pour vivre sa passion.
L’intensité du film tient beaucoup à ce qu’il élude. Les cavales, la violence et les délits ne sont pas montrés. Leurs conséquences sur les visages et les sentiments, oui. Autre belle idée, la présence fantomatique de Suzanne quand elle disparaît : la cinéaste filme ceux qui restent, dévastés par l’inquiétude. C’est
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