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Publié le 19 septembre 2022 à 22h26
Mis à jour le 19 septembre 2022 à 22h26
Avec There Will Be Blood, Paul Thomas Anderson s’est imposé comme un cinéaste de la démesure, en quête de son « grand film américain » : une œuvre somme qui parviendrait à exprimer la quintessence de l’imaginaire national. Les quarante premières minutes, à la mise en scène époustouflante, de The Master semblent animées par la même ambition : analyser la psyché des États-Unis à un moment charnière de leur histoire.
Le cinéaste reconstitue l’après-Seconde Guerre mondiale à travers la réinsertion chaotique d’un marin alcoolique et violent. Freddie Quell, traumatisé par les combats dans le Pacifique, devient le confident de Dodd, un penseur charismatique, très inspiré par L. Ron Hubbard,
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