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- Très Bien

Publié le 30 janvier 2019 à 06h00
Mis à jour le 22 février 2024 à 16h29
Julie a perdu sa fille et son mari, compositeur de musique, morts sur la route. Blessée physiquement, mais surtout moralement, elle tente de revivre… Bleu, blanc, rouge ; les couleurs du drapeau français, Krzysztof Kieslowski les associa pour construire une trilogie autour de l’éthique et de l’esthétique.
Ce premier volet est un film sur le hasard et la liberté (qui correspond au bleu, sur nos drapeaux), ces accidents de la vie qui donnent l’impression qu’à chaque instant le destin vous échappe et que vous n’êtes libre de rien du tout. Mais il faut de la patience pour conquérir sa liberté, surtout lorsqu’on est enchaîné à un passé obsédant. Kieslowski joue à la fois sur les réminiscences et les ouvertures à l’avenir. De signes en symboles, de détails apparemment sans importance en longues scènes poignantes, Trois Couleurs : Bleu chemine vers la vie. Tour à tour torturée et lumineuse, Juliette Binoche domine cet itinéraire de son extraordinaire présence.
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Le hasard, la mort, le nihilisme, l'art, l'amour, la compassion, le doute... Ce film est une leçon de philosophie ET de cinéma.
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Le hasard, la mort, le nihilisme, l'art, l'amour, la compassion, le doute... Ce film est une leçon de philosophie ET de cinéma.
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