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Publié le 12 août 2020 à 08h00
Mis à jour le 08 novembre 2021 à 00h33
C‘est le dernier film de Philippe de Broca, délicieux réalisateur de films bondissants ou faussement gais. Broca a donc illuminé le sombre Bazin de sa générosité. Il fait de Jacques Villeret un personnage proche des héros qu’il a toujours aimé peindre : un être faible, dominé par sa femme, mais avant tout un poète citant Voltaire devant la voûte céleste. Et de Folcoche, une frustrée sexuelle, proche des sorcières des contes d’enfants, plus drôle qu’effrayante. Quant aux trois gamins, ils sont plus attendrissants que haineux. Ne parlons pas de ratage (la photo et les décors sauvent le film), juste d’un produit édulcoré.
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