Membre de la police du Capitole, John Cale vient de se voir refuser le job dont il rêvait : assurer la protection du président des États-Unis. On frise parfois la parodie, en revanche les scènes d’action sont parfaitement orchestrées.
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Publié le 19 avril 2022 à 18h00
Mis à jour le 28 mars 2025 à 14h07
Chez Roland Emmerich (Independence Day et 2012), la Maison-Blanche n’en finit plus de partir en morceaux. Habitué des fictions mondialisées et mégalos, le cinéaste met ici son sens du spectacle au service d’un huis clos. Et ça déménage ! Le palais est pris d’assaut, et le président, en otage.
Au patriotisme éculé de La Chute de la Maison-Blanche, d’Antoine Fuqua, également sorti en 2013, White House Down réplique par une menace intérieure, davantage en phase avec l’actualité. À un humour de brute s’ajoutent les références explicites à Piège de cristal et aux blockbusters des années 1990. Le réalisateur s’amuse comme un gamin avec cette série B explosive, transformant
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