Le réalisateur adapte Queneau avec verve, en mode cartoon. Et sa Zazie, toute jeune Catherine Demongeot, nous emporte dans un tourbillon de folie.
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Publié le 12 avril 2008 à 00h00
Mis à jour le 12 novembre 2024 à 12h19
Sur les pavés de Paris gambade une gamine gouailleuse, Zazie de son prénom. Elle est venue passer quelques jours chez son oncle Gabriel. Déçue de ne pouvoir prendre le métro, en grève, Zazie sème la zizanie sur le trottoir... La première demi-heure est « suprême », comme dirait Zazie, trousse-pète impérieuse et pleine de verve. Tout excité à l'idée de concurrencer Queneau dans l'exercice de style et de tourner son premier film en couleurs, Louis Malle joue avec la grammaire du cinéma : ralentis, accélérés, coupes incongrues, gags visuels, clins d'oeil à ses confrères.
Pif, paf, schtong, l'image explose de tous les côtés, façon pop art et cartoon échevelé. Après, tout s'enraye dans la plus
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