“ Par les fragments qui en subsistent, l'on peut constater une chose : le Cinéma nippon de 1924 n'a que faire d'être muet. Il est éloquent ! ”— Arch_Stanton 7 avril 2018
“ 47 rõnin de Shôzô Makino. Combats bien chorégraphiés mais en dehors, l'image ne se suffit pas & rythme cassé par de longs cartons redondants ”— orloff22 janvier 2018