Mustapha Adouani (????? ????????), né le 2 octobre 1946 et décédé le 14 décembre 2006 à Tunis, est un acteur tunisien. Il interprète plusieurs films qui ont marqué l'histoire du cinéma tunisien et notamment L'Homme de cendres et Halfaouine, l'enfant des terrasses. Il est inhumé le 15 décembre au cimetière du Djellaz de Tunis.
Tel un Candide rêvant de l'Eldorado, Jallel immigre en France avec l'espoir de tenter sa chance. De rencontres en rencontres, de foyers en associations, Jallel chemine dans le Pari...
Dans un bidonville de Nanterre, en pleine guerre d'Algérie, Lakdhar se languit de sa famille restée au pays. Réussissant finalement à la faire venir en France, il va par tous les m...
Eté 1966, La Goulette, Tunisie. Youssef le musulman, Jojo la Juif, Giuseppe le catholique sont aussi inséparables que leurs trois filles de seize ans. Jusqu'au jour où, par provoca...
Fred, photographe, est en Tunisie pour faire un reportage sur les « bezness » (hommes prostitués). Décalé dans cet univers où l'image est une violation et sa représentation un t...
A Tunis, sur cette Terre d'Islam si pu ritaine, le petit Noura, 12 ans, fait un pari avec ses camarades. Pour faire partie des "grands" du quartier d'Hal faouine, il devra entrer a...
L'Homme de cendres (??? ????) est un film tunisien réalisé en 1986 par [Nouri Bouzid|a:Nouri-Bouzid]. Il est sélectionné lors du Festival de Cannes 1986. Il obtient le Tanit d'o...
Aldo provoque l'exaspération du directeur de la prison qui le jette dehors. Il tente de trouver refuge afin de se réinsérer mais accusé à tort d'un hold-up qu'il n'a pas commis, il...
Hamid, journaliste, la trentaine passée, refuse de se marier. Son amitié pour le photographe Elyès inquiète ses proches. Il a du mal à gérer ses rapports avec Sara, sa collègue lib...
“ “ De touchant le film devient pesant à mesure que Kechiche s'égare dans son exposition des marginaux, plombée par le cabotinage d'E.Bouchez. ”— tchristophe28 octobre 2013
“ Kechiche, à coups de longueurs, parvient à filmer le sordide d'une situation irrégulière, sans forcément nous émouvoir dans l'injustice. ”— chloeeee17 novembre 2013
“ Kechiche écarte le naturalisme social pour une fable maladroite et rageuse de l'entraide -l'étirement et les embardées violentes couvent. ”— ProfilSupprime 5 octobre 2013