Leonard Zelig relève, dans ces années trente, d'un cas peu ordinaire. Obèse, boxeur ou écrivain, il prend l'apparence de tous ceux qu'il côtoie. Eudora, en psychanalysant Léonard, ...
"Chef d'œuvre de haine, de vanité provocante, d'orgueil démoniaque, mais chef-d'œuvre tout de même." - Riefenstahl utilise le langage cinématographique pour glorifier et mythifier ...
“ Du refus d’être soi au triste destin de n’être qu’un autre,Zelig le caméléon se perd dans le miroir de vrais faux documentaires subliminaux ”— cath4428 septembre 2013