Anurag Kashyap, le cinéaste indien le plus influent de ces derniers temps, a été crédité en tant que réalisateur, producteur, écrivain et également en tant qu’acteur, dans plus de 40 films. Ses deux films, Gangs of Wasseypur et Ugly, ont été présentés à la Quinzaine des Réalisateurs. Plusieurs de ses productions telles que The Lunchbox, Masaan, Peddlers… ont également été présentées à Cannes. En 2013, il a été fait Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres par le gouvernement français.
Dans un quartier calme, Maharaja, un barbier respecté d'âge moyen, vit avec sa fille Jothi et Lakshmi. Lorsque Maharaja rapporte à la police que des intrus masqués l'ont attaqué et...
Un employé de bureau qui s'ennuie dans sa vie, déclenche accidentellement une révolution dans un monde dystopique, Schirkoa, où les citoyens vivent avec des sacs en papier sur la t...
Désabusée par ses rêves inaccomplis et les dettes de son mari au chômage, une employée de banque découvre chez elle une source d'argent apparemment inépuisable.
Les réalisateurs d'"Histoires sensuelles" (Zoya Akhtar, Anurag Kashyap, Dibakar Banerjee et Karan Johar), une série nommée aux Emmys, se retrouvent pour quatre thrillers.
Kamala, vingt-et-un ans, est une migrante originaire du Madhya Pradesh vivant à Bombay. Elle habite une cabane au bord de la plage de Juhu avec son grand-père et sa jeune sœur. La ...
Dans cette suite du film "Bombay Talkies", quatre courts métrages réalisés par de grands cinéastes indiens explorent l'amour, le sexe et les relations dans l'Inde moderne.
“ Kashyap clôt sa gigantesque fresque avec une mise en scène d'une ampleur époustouflante, pétri d'ambition mais surtout de réussite. ”— Store27 octobre 2013
“ UGLY prolonge la précédente réussite de Kashyap (GANGS OF WASSEYPUR), dans une veine très différente et avec une noirceur d’âme tétanisante. ”— Accreds22 mai 2013
“ Une fresque familiale grandiose et tarantinesque signée A. Kashyap. Un film qui fera date dans l'histoire du renouveau du cinéma indien. ”— LolaLaloh19 novembre 2013
“ Avec la même énergie que dans la première partie, Anurag Kashyap déploie un luxe de détails et de gags que permet une durée exceptionnelle. ”— Premiere27 décembre 2012