Réunis autour de plats préparés avec amour, les clients et le chef d'une gargote tokyoïte sans éclat établissent peu à peu des connexions simples, mais profondes.
“ Ca bande plutôt moyen avec ce pinku eiga qui manque de saveur mais qui sort de sa torpeur dans ses 25 dernières minutes. Pour Setsuko Ogawa. ”— cineMANbis 6 janvier 2023
“ Même pas affriolante cette "Maison des perversités" n'éveille guère de sens et se vautre le plus souvent dans le grand-guignol ... ”— Arch_Stanton25 avril 2022
“ Lente descente aux enfers et plongée dans la folie pour la femme-objet. L'instrument du désir masculin se rebelle et tranche pour se libérer ”— Arch_Stanton19 août 2018
“ Une île. La nature et ses codes, ceux qui structurent la culture japonaise, se projettent avec un contraste enthousiasmant sur la nôtre. ”— piver11 novembre 2015