No Country for Old Men à 20h55 sur France 2. Pas le meilleur moyen de préparer la semaine avec entrain et optimisme, mais tant pis. « On parle de cathédrale des frères Coen, prévient @Polo42, d’un des plus grands films des vingt dernières années ». @TheFabest et avec lui la majorité des Ambassadeurs de Télérama-Vodkaster s’inclinent devant ce « pur miracle de cinéma ». Certains osent un petit blasphème en voyant la tête de Javier Bardem, alias « Mireille Mathieu dans son rôle le plus atypique » dixit @TaoChess, acteur à qui @Juckarify décerne son « Oscar de la meilleure coiffure ». Ils n'en sont pas moins touchés par la grâce des « paysages poussiéreux du Texas où la photographie de Roger Deakins touche au sublime » selon @FreshBUZZ17. Et du sublime, il en faut pour ne pas se laisser écraser par ce film « profondément désespéré, sans concession, et qui vous poursuit longtemps après la projection» signale @Sushi_Overdose. Oui, comme le fait remarquer @Springbank : « Rien de tel qu’un bon feel good movie pour commencer la semaine avec légèreté… ».
Le Ciné dimanche des Ambassadeurs est mis à disposition des internautes de Télérama.fr, avec en supplément une contre-proposition de @Zepequeno, @Minato et @MrFisher, et un avertissement de @Colbosch.
La THEMA d’Arte dans toute sa splendeur avec un ticket gagnant sur la voyoucratie hollywoodienne. D’abord un long-métrage pour les ébénistes sadiques (« J’aime bien le bruit du bois broyé par Russell Crowe » écrit @Minato) et les amateurs de films noirs bourrés de qualités, comme @MrFisher : « Une belle brochette d’acteurs et l’un des derniers grands rôles de Kim Basinger, une histoire captivante et le cadre toujours cinégénique de la ville du cinéma ». Ensuite, un documentaire inédit sur Ronald Reagan, acteur/syndicaliste/mafieux/président. Inédit mais réalisées par les sœurs Kuperberg, pas inconnues de @Zepequeno : « Elles ont fondé la société de production Whichita Films, font beaucoup de documentaires les faces cachées de l’âge d’or hollywoodien et travaillent souvent pour Arte ou OCS. C’est classique, calibré pour du 52 minutes, mais toujours intéressant ».
« Au hasard d’une rencontre fortuite, j’ai fait l’erreur de regarder Jamais le premier soir et ça me hante encore la nuit » se souvient @Colbosch qui réapprend doucement à vivre...