★ Keiji Sada 佐田啓二 mon Top
59%
-
1(1947)de Keisuke Kinoshita avec Kinuyo Tanaka, Keiji Sada, Isamu Kosugi1h221 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Magnifique Kinuyo Tanaka. Forcément magnifique ... Son amour disparu dans les tourbillons de la guerre traverse les décennies du Cinéma ... ” — Arch_Stanton 4 juin 2022
-
22h421 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ 2h42 qui soufflent comme une rafale de vent sur l'un de ces phares japonais dont Kinoshita nous dresse un magnifique catalogue. Sublime ... ” — Arch_Stanton 7 juin 2022
-
3(1958)de Yasujirō Ozu avec Shin Saburi, Kinuyo Tanaka, Ineko ArimaArch_Stanton“ Le Japon passe le témoin d'une société qui évolue parfois trop vite pour certains, mais qui pose de nouveaux jalons grâce à l'Amour. ” — Arch_Stanton 14 octobre 2018
-
4(1959)de Yasujirō Ozu avec Kōji Shidara, Yoshiko Kuga, Keiji SadaArch_Stanton“ Dans ce Japon modernisé d'Après-guerre, un conflit de générations se règle à coups de flatulences polissonnes, notes d'une bo digne de Tati. ” — Arch_Stanton 10 février 2018
-
5(1962)Drame | 1h53Arch_Stanton“ Le visage paisible et noble de Chishū Ryū écoutant le "Gunkan kōshinkyoku" doit ressembler à celui du Saint-Pierre du Paradis des cinéphiles ” — Arch_Stanton 1 août 2019
-
6(1949)1h251 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un premier volet qui pose le mythe. Pas de grandes terreurs, mais une maîtrise totale, servie par une distribution de classe absolue. ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
-
7(1949)de Keisuke Kinoshita avec Kinuyo Tanaka, Keiji Sada, Ken Mitsuda1h131 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Un second volet plus enlevé et dans lequel les fantômes (re-)viennent hanter jours et nuits des vivants assez fous pour continuer de vivre ! ” — Arch_Stanton 5 juin 2022
-
8(1951)Comédie | 1h26Arch_Stanton“ Comédie musicale champêtre, libérée et pétillante ! Hideko Takamine virevoltante et débordante de séduction transforme le Japon à elle-seule ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
-
9(1953)1h561 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Une fresque réaliste quasi-documentariste d'un Japon en plein chaos politique, économique et moral. Une œuvre salutaire, un constat terrible ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
-
101h492 micro-critiques | Sa note :Arch_Stanton“ Quelque part sous le Ciel vivent des êtres dont les destins brisés par les larmes de la guerre retrouvent des couleurs, celles de la Vie ... ” — Arch_Stanton 5 juillet 2019
-
11(1955)1h391 micro-critique | Sa note :Arch_Stanton“ Une nouvelle fois veuve de guerre (à l'écran) Takamine libère un Japon sclérosé, tout en s'émancipant elle-même. Habile message social ! ” — Arch_Stanton 6 juin 2022
-
12(1956)de Masaki Kobayashi avec Ineko Arima, Keiji Sada, Fumio Watanabe2h101 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Kobayashi commence à se détacher des mélos imposés par sa prod' et laisse libre cours à ses préoccupations sociales et de luttes des classes ” — Torrebenn 22 juillet 2019
-
13(1956)de Masaki Kobayashi avec Keiji Sada, Keiko Kishi, Minoru Ōki1h511 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Le monde impitoyable du sport et de toute la faune qui gravite autour des stars du milieu. Kobayashi y applique son regard d'entomologiste. ” — Torrebenn 17 mai 2018
-
14Drame | 3h28Arch_Stanton“ Dans les immensités désolées de la Mandchourie, Kobayashi dépeint ce qu'est la condition de l'Homme et peint des plans hallucinés de beauté. ” — Arch_Stanton 21 mars 2015
-
15Arch_Stanton“ L'irrationnelle violence d'un dressage institutionnalisé dépasse l'entendement de tout esprit libre & humaniste. Un creuset d'horreur légale ” — Arch_Stanton 3 mars 2018
-
16(1960)de Yasujirō Ozu avec Setsuko Hara, Yōko Tsukasa, Chishū RyūDrame | 2h08Arch_Stanton“ Il n'est qu'à prononcer le nom d'Ozu, pour ouvrir aussitôt les portes d'un univers de délicatesse, de féminité & d'intérêt pour le quotidien ” — Arch_Stanton 10 avril 2018
-
17Torrebenn“ Fuite éperdue vers un inconnu, seule l'errance paraît être salvatrice pour des âmes égarées, devenues bouches inutiles du Moloch national. ” — Torrebenn 3 mars 2018
-
18(1961)1h431 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Les avanies subies par Takamine seront à même de foutre les larmes à quiconque, si sa frimousse de pilier du Cinéma japonais ne le fait pas. ” — Torrebenn 22 juillet 2019
-
19(1961)1h381 micro-critique | Sa note :Torrebenn“ Gosho, petit malin, mène en bateau son spectateur de la première à la dernière minute de son drame. L'art du contre-pied ! ” — Torrebenn 21 juillet 2019
Des choses à dire ? Réagissez en laissant un commentaire...