Alors que sa jambe paralysée devrait l'exclure de tout, Grigris, 25 ans, se rêve en danseur. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son oncle tombe gravement malade. Pour le sauve...
Tchad, 2006. Le gouvernement a accordé l'amnistie à tous les criminels de guerre. Atim, seize ans, reçoit un revolver des mains de son grand-père pour aller tuer l'assassin de son ...
Le père d'Amine et Tahir, huit et quinze ans, a quitté le domicile familial. Les deux frères décident alors de partir à sa recherche. Profondément choqués par cette brusque dispari...
“ Saleh-Haroun fait de son homme qui boite (de nuit) le héros d'un film noir lumineux, ténébreux, dans un Tchad beau à pleurer. ”— tomsias19 juillet 2013
“ Trois ans après UN HOMME QUI CRIE, Haroun signe GRIGRIS, une fable singulière dans laquelle le corps des personnages s’exprime à leur insu. ”— Accreds25 juin 2013
“ Mohamed Saleh Haroun livre un récit vierge de tout cynisme et de second degré, laissant place au sentiment nu, à la sensation pure. ”— cinematraque26 mai 2013
“ L'agrégation de composantes trop disparates empêche ici Saleh-Haroun de tirer son histoire vers la fable ou la tragédie comme auparavant. ”— Kikuchiyo18 juin 2013
“ "Grigris" Grâce à Souleymane Démé, aka Grigris, Mahamat Saleh Haroun nous envoute et nous touche avec ce danseur né à la démarche chaloupée. ”— Arthur_Du_Pre 9 juillet 2013