r Très Bien
Tirez sur le pianiste
(1960)
un film de
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Satisfaction communauté 67%
Tirez sur le pianiste

Tirez sur le pianiste

(1960)
un film de
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Micro-critique star (ianov) :
ianov
(à propos de Tirez sur le pianiste)
Sa note :
Tirez sur le pianiste “ Nous tenons là une oeuvre en chantier, si belle de liberté, une musique entêtante, des draps froissés, la blanche neige et l'hommage au Noir ” — ianov 23 mai 2015
9 commentaires
  • zephsk
    (à propos de Tirez sur le pianiste)
    Sa note :
    Tirez sur le pianiste “ Truffaut se perd un peu dans l'inventaire du film noir. Reste ces notes de piano entêtantes comme la pluie sur les pages d'un Goodis.  ” — zephsk 6 janvier 2012
    42 commentaires
    • zephsk
      commentaire modéré @lebateausobre Eh bien je trouve la première partie de ton argumentation absolument remarquable, mais la conclusion que tu en tires est assez absurde, voire un contresens. Ce "reste" est presque essentiellement le sujet, ce qui persiste, la matérialisation d'un songe, d'une mémoire, c'est "ce qui me reste". Du coup, ça tendrait plus surement à confirmer ma version. Non ?
      31 octobre 2014 Voir la discussion...
    • lebateausobre
      commentaire modéré Mais Joseph, je suis d'accord, rhétoriquement, c'est efficace et on comprend parfaitement ce que tu veux dire. Seulement la grammaire ne s'appuie pas, ou alors uniquement de manière catégorisante (et souvent à reculons), sur le sens des mots (la stylistique, si), mais principalement sur leur système. Elle est une structure logique et complexe, certes pleine d'exceptions, mais dont tout phénomène doit être systématiquement analysable, dans la lignée de nombreux travaux de recherche, aujourd'hui poussés jusqu'à des extrémités quasi nauséeuses (je sais de quoi je parle, pour me taper les enculages de mouche parfois complètement abscons de certains professeurs). Je crois qu'ici 'reste', grammaticalement (j'insiste), ne peut qu'être un verbe conjugué.
      Sémantiquement et stylistiquement, on analyserait cela dans la perspective de ton dernier commentaire. Mais bon, encore une fois, c'est l'étudiant qui parle. L'individu lucide (j'espère n'être pas complètement devenu un monstre) te dirait qu'en toute subjectivité, la langue est souple, et que l'on peut parfaitement interpréter comme tu le fais cette phrase. Malaxer la syntaxe structurée pour la gloire de la rhétorique et du style, c'est parfois salubre.
      @Cladthom Ben dis-nous ton avis, je sais que tu te retiens d'entrer dans le débat
      31 octobre 2014 Voir la discussion...
    • Cladthom
      commentaire modéré je sais pas moi, je fais une faute toutes les 3 phrases.
      Je déteste le français, c'est nul
      31 octobre 2014 Voir la discussion...
  • TheFabest
    (à propos de Tirez sur le pianiste)
    Sa note :
    Tirez sur le pianiste “ L'on s'éprend de cette caméra lancinante, presque timide. Tout en regrettant le sourire trop marqué du pianiste, trahissant celui de Goodis. ” — TheFabest 2 septembre 2014
    40 commentaires
    • TheFabest
      commentaire modéré Se serait dommage je trouve. Les aimer tout les deux ?
      23 octobre 2014 Voir la discussion...
    • Lolograhame
      commentaire modéré Je n'y peux rien, je fais comme je peux avec mes sentiments.
      23 octobre 2014 Voir la discussion...
    • TheFabest
      commentaire modéré Je peux comprendre, oui. C'est sans doute la première fois que je souhaite ça à quelqu'un mais ... bon oubli !
      23 octobre 2014 Voir la discussion...
  • ianov
    (à propos de Tirez sur le pianiste)
    Sa note :
    Tirez sur le pianiste “ Nous tenons là une oeuvre en chantier, si belle de liberté, une musique entêtante, des draps froissés, la blanche neige et l'hommage au Noir ” — ianov 23 mai 2015
    9 commentaires
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