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Micro-critique star (ginlange) :
ginlange
(à propos de Don't Breathe - La maison des ténèbres)
“ Dans un silence de tombe où l'on retient son souffle, faire hurler sans un cri au travers d'une caméra mouvante et terrifiante : Panic home. ”
— ginlange
3 octobre 2016
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Aymeric(à propos de Don't Breathe - La maison des ténèbres)“ Choc horrifique impitoyable où la peur est avant tout une affaire d'ambiance, angoissante au point qu'elle coupe, littéralement, le souffle. ” — Aymeric 22 septembre 2016
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ginlange(à propos de Don't Breathe - La maison des ténèbres)“ Dans un silence de tombe où l'on retient son souffle, faire hurler sans un cri au travers d'une caméra mouvante et terrifiante : Panic home. ” — ginlange 3 octobre 2016
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ginlange
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Joe_Shelby
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Joe_Shelby(à propos de Don't Breathe - La maison des ténèbres)“ Au Détroit de vies rapiécées, chacun cherche une issue. Alvarez réussit son Panic Room par un thriller sadique, malin et oppressant. Bluffé. ” — Joe_Shelby 9 octobre 2016
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bredele
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Joe_Shelby
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Plutôt d’accord avec Cladthom en ce qui concerne le "vilain pas beau" ; j’ai l’impression qu’Alvarez ne sait pas trop où il va avec lui. Bon, Lang a une présence physique, presque iconique, et une gueule d’acier qui font le taf (à 2-3 reprises, le film est vraiment violent et tout sauf amusant – j’ai encore un esprit sain). En revanche, quand il s’agit de le faire parler de lui, de sa souffrance, de son trauma et de le faire ânonner sur Dieu, il est subitement plus proche de Jigsaw que de l’Etrangleur de la place Rellington (un film que vous devriez avoir vu, alors dépêchez-vous s’il vous plait). Là, j’aime beaucoup moins et je soupire avec entrain. Un pied dans le réel, la tête dans la cave à vain. Le film est d’ailleurs sur des charbons ardents à ce moment-là, Alvarez m’a donné l’impression de s’en rendre compte. Dès lors, j’ai bien aimé sa façon de retomber sur ses pattes avec un bon gros gag m’ayant arraché un rire généreux et rigoureusement gras. La suite est bien mieux, le personnage de Jane Levy (très bien) bénéficiant d’une évolution intéressante avec le recul. C’est bien la seule, d’ailleurs.
J’ai bien aimé le canidé sinon (on lui doit une des meilleures scènes). Il n’a pas l’air commode. Il a presque l’air d’avoir une conscience, le salopard.
Sinon, Alvarez gère bien son huis-clos, très lisible en terme de « scénographie », sait le relancer avec malice et garder le spectateur en alerte, et tend donc, le petit malin, à diluer ce qui peut prêter à sourire (parfois, les personnages ont un q.i. qui n’est guère des plus développés, ah ça oui !). Les ralentis sont assez nazes. Le ralenti devrait être une épreuve obligatoire pour l'obtention du diplôme.