Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (Portinou) :
Portinou
(à propos de Le Procès)
“ Interprétation hallucinatoire d'une oeuvre au réalisme absurde, servie par une mise en scène oppressante et égarante. Le meilleur Welles. ”
— Portinou
21 avril 2014
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Portinou
(à propos de Le Procès)
“ Interprétation hallucinatoire d'une oeuvre au réalisme absurde, servie par une mise en scène oppressante et égarante. Le meilleur Welles. ”
— Portinou
21 avril 2014
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Ju_
commentaire modéré Déjà lu :) des que je regarde un grand classique je lis son dossier sur dvdclassik. C'est vraiment un must ce site !16 avril 2015 Voir la discussion... -
CinemAtrium
commentaire modéré Bien d'accord, le meilleur Welles3 mai 2016 Voir la discussion... -
Eforie
commentaire modéré Je souscris, certainement le meilleur Welles à mes yeux.5 mai 2020 Voir la discussion...
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goodfeles
(à propos de Le Procès)
“ Le Verdict ne fait aucun doute, le talent de Welles est au service d'un remarquable scénario kafkaïen. Un tourbillon désespéré et oppressant ”
— goodfeles
18 juin 2020
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Bosco
commentaire modéré Encore une fois, Kafka est difficilement transposable. Welles a donc fait dans Le Procès du Welles. Ce qui m'ennuie c'est que l'on croit y voir aussi du Kafka. -
Bosco
commentaire modéré @goodfeles Ce pourrait être en effet un bon point de comparaison. Je ne l'ai pas encore vu. Tout ce que je peux penser a priori est que si l'adaptation de Sodebergh n'était pas satisfaisante, ce pourrait être pour des raisons inverses de celles que je reproche à Welles. Soderbergh, à la différence de ce dernier, est un cinéaste du filmage et montage fluides. Il tend à s'effacer en effaçant tous les effets. Le risque alors face à Kaka, ce n'est pas d'être neutre ou transparent à la manière de l'homme invisible, mais de ne pas arriver à transposer (à donner à voir ou plus exactement à ressentir) cette forme de froideur absurde, d'onirisme blanc ( provoquant des effets de surréalisme en ne maniant aucun des trucs du surréalisme, comme l'humour blanc provoque un un sous-rire en en étouffant les éclats) qui développe i-médiatement (là où pour le coup, l'écriture "sans effets" de Kafka est proprement géniale) une situation banale (en fait une situation extroardinaire mais vécue sans étonnement) dans un espace métaphysique à la fois vide et sourdement cruel.
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Airone
(à propos de Le Procès)
“ La Justice kafkaïenne est ce monstre impersonnel et omniscient, absurde Léviathan bureaucratique oppressant l'homme au point de l'annihiler. ”
— Airone
18 janvier 2015
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