Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (bredele) :
bredele
(à propos de Les Bonnes femmes)
“ Témoins d'une époque, ces bonnes femmes sont le miroir piégeant d'une triste réalité, construite sur des rêves, de l'ennui et de la bêtise. ”
— bredele
29 novembre 2015
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bredele
(à propos de Les Bonnes femmes)
“ Témoins d'une époque, ces bonnes femmes sont le miroir piégeant d'une triste réalité, construite sur des rêves, de l'ennui et de la bêtise. ”
— bredele
29 novembre 2015
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bredele
commentaire modéré @Attrianera merci19 mai 2017 Voir la discussion...
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Taliesin
commentaire modéré Un grand film; le chef d’œuvre de Chabrol.31 juillet 2023 Voir la discussion... -
Taliesin
commentaire modéré Des plans sont magnifiques, composés, notamment celui où Jane est en reflet dans un téléviseur à tube cathodique. Tous ces jeux de regards, d'émotions, cette bouffonnerie face à l'idéal de liberté de ces femmes...31 juillet 2023 Voir la discussion...
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georges.b1
(à propos de Les Bonnes femmes)
“ Fable accablante sur le rôle victimaire de la femme dans une société patriarcale‚ un scénario féroce articulé en toute liberté ! ”
— georges.b1
25 avril 2017
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REDACTED
(à propos de Les Bonnes femmes)
“ Il est vraiment bouleversant d'accompagner ces femmes, si terriblement captives de leur soif d'idéal, tant le film, lui, affirme sa liberté. ”
— REDACTED
31 mai 2014
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REDACTED
commentaire modéré Et cette dernière scène, ce regard-caméra... Ouille, ouille, ouille. C'est beau putain.
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REDACTED
commentaire modéré J'ai augmenté de 0.5 parce-que j'y repense souvent. C'est un chef-d'oeuvre. Voilà, j'espère que vous êtes aussi émus que moi.
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Taliesin
commentaire modéré Pas ému mais singulièrement étonné et captivé pour ma part. Je ne suis pas un fan de Chabrol mais ce film est selon moi son meilleur car le plus abouti, recherché et très nouvelle vague évidemment. Clotilde Joano au regard désabusé et terne comme une poupée, mais bellement mise en lumière, est comme la balise qui en arrière plan montre comme un désenchantement sous-jacent, cet idéal dont tu parles et qui se noie dans la représentation, le paraître, la bouffonnerie et la pulsion violente des hommes. La scène de l’étranglement est formidablement sublime et constitue violemment l'acmé du "harcèlement" masculin répété que subit Jacqueline. Un grand film.
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