Godard qui m'interpelle.
8 films en 6 jours. Des images qui me poursuivent. Cette façon si particulière qu'il a de filmer les corps dans l'espace...Il donne du relief à l'être et en accentue la solitude remarquablement.
1 exception: À bout de souffle que je n'ai pas aimé.
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(1963)Drame | 1h39Attrianera“ Vertige des corps qui se découpent dans un espace maîtrisé et sublimé. Godard met à nu les âmes. Lucidité implacable. ” — Attrianera 21 septembre 2017
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(1967)Attrianera“ Densité intellectuelle rare, un regard très ambivalent et pertinent sur le maoïsme et le militantisme en général. Puissant. ” — Attrianera 20 septembre 2017
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(1965)Attrianera“ Aveuglement du soleil et du cœur. L'amour, la mort, l'amertume sublimées par une maestria picturale et un sens remarquable des mots. ” — Attrianera 23 septembre 2017
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(1966)Drame | 1h45Attrianera“ Relations gauches et subtilement incarnées, intérêts contraires et désillusions constantes. Une Chantal Goya étonnante. ” — Attrianera 22 septembre 2017
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Drame | 1h23Attrianera“ En architecte de la solitude, Godard filme brillamment le destin d'une jeune femme perdue. Les yeux d'Anna.... ” — Attrianera 23 septembre 2017
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(1964)de Jean-Luc Godard avec Macha Méril, Bernard Noël, Philippe LeroyDrame | 1h38Attrianera“ Méril semble être un objet qui n'existe que dans le regard de l'autre, désir et condescendance, regard acide sur la condition féminine. ” — Attrianera 8 octobre 2017
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(1964)Drame | 1h35Attrianera“ De la légèreté, des soupirs et de l'infortune, le cocktail est savoureux et le trio d'apprentis malfrats aussi sympathique qu'éphémère. ” — Attrianera 27 septembre 2017
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(1963)Drame | 1h24Synopsis : Dans ce premier film politique, Jean-Luc Godard raconte le cauchemar de Bruno Forestier, petit tueur à la solde de l'OAS, qui, tout à coup et sans raison apparente, hésite à honorer un contrat.
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