Ce qu'en pense la communauté
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Micro-critique star (LaKinopitheque) :
LaKinopitheque
(à propos de Junon et le paon)
“ Un mauvais Hitchcock, ce qui n'arrive pas si souvent. Et le dramaturge dont la pièce est ici adaptée dira n’avoir jamais vu le film. ”
— LaKinopitheque
14 février 2024
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CinemAtrium
(à propos de Junon et le paon)
“ Voir un navet d'Hitchcock, c'est la promesse que même les génies se plantent. ”
— CinemAtrium
6 février 2018
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LaKinopitheque
commentaire modéré Ma mémoire est certes fragile, mais je crois n'avoir jamais entendu parlé de celui-ci.14 février 2018 Voir la discussion...
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CinemAtrium
commentaire modéré @LaKinopitheque il est très confidentiel (et c'est pas plus mal, vraiment pas bon du tout)14 février 2018 Voir la discussion...
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LaKinopitheque
commentaire modéré Beh voilà qui est vu. Je confirme, le génie n'était pas encore atteint.14 février 2024 Voir la discussion...
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LaKinopitheque
(à propos de Junon et le paon)
“ Un mauvais Hitchcock, ce qui n'arrive pas si souvent. Et le dramaturge dont la pièce est ici adaptée dira n’avoir jamais vu le film. ”
— LaKinopitheque
14 février 2024
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nibab_lacsap
(à propos de Junon et le paon)
“ Bel exemple de ce que le théâtre filmé des Talkies pouvait proposer de pire. Un seul plan a retenu miraculeusement mon attention ankylosée. ”
— nibab_lacsap
21 avril 2022
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nibab_lacsap
commentaire modéré Un plan remarquable (au sens premier) car il est impossible, invraisemblable. C'est presque une erreur, mais elle ne peut être que délibérée.
Alors que les deux soulards rentrent en douce à la maison qu'ils croient vide, la femme de l'un d'eux se cache derrière la porte pour les surprendre. Elle est filmée de face en plan américain, la caméra située à 2 ou 3 mètres d'elle. Tandis qu'on entend les deux autres parler en hors-champ, on comprend par l'ouverture de la porte dont on ne voit qu'un bout et surtout par le regard de la femme qu'ils pénètrent dans l'appartement, sans la voir.
Or, c'est impossible car s'ils étaient réellement rentrés, ils auraient dû passer devant la caméra, entre elle et la femme. Le plan continue, la femme s'avance et on les découvre poursuivant leur conversation de dos devant la cheminée. Le plan se fige alors sur elle de dos en amorce les observant. Et l'on se dit : par où sont-ils rentrés ? Par une autre porte, mais on comprend que non. Alors ils seraient passés derrière la caméra ? Mais elle était trop éloignée, ça colle pas spatialement.
Non ils sont passés par un espace complètement théorique, un hors-champ impossible, imprécis, aux dimensions modulables, qui ne se relie à aucun espace du champ, une sorte coulisse de théâtre mobile... Un hors-champ de convention comme celui pratiqué sur scène, lorsque l'acteur décrit par exemple ce qu'il voit par la fausse fenêtre...
Étrange, pourquoi Hitchcock a-t-il choisi cette option ? Pourquoi justement ne pas avoir montré dans le même plan celle qui épie et ceux qui ne la voient pas, créant ainsi une tension évidente dans le plan ? Depuis Chaplin, au moins, on sait à quel point il est jouissif de voir quelqu'un ne pas voir. C'est d'ailleurs ainsi que Hitchcock finit son plan...
Moi j'aime bien, c'est irréel, bizarre, c'est un jeu de caméra, et je ne l'ai jamais revu nulle part. -
nibab_lacsap
commentaire modéré @LaKinopitheque Moi aussi, et Hitchcock n'est pas en reste de ces jeux d'espaces.
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John Laurie
Sara Algood
Dave Morris
Kathleen O'Regan
John Longden
Dennis Wyndham
Fred Schwartz
